Première partie – Deuxième partie
Première partie : Éliminer l’imposteur
« Voici le témoignage de Jean, lorsque les Juifs envoyèrent de Jérusalem des prêtres et des lévites, pour lui demander : Toi, qui es-tu ? Il déclara, et ne le nia point, il déclara qu’il n’était pas le Christ. Et ils lui demandèrent : Quoi donc ? Es-tu Élie ? Et il dit : Je ne le suis point. Es-tu le prophète ? Et il répondit : Non. » (Jean 1, 19-21 FLS.)
Des disciples de Mohammed affirment qu’il est le prophète à propos duquel Moïse a prophétisé :
« Je leur susciterai du milieu de leurs frères un prophète comme toi, Je mettrai Mes paroles dans sa bouche, et il leur dira tout ce que Je lui commanderai. Et si quelqu’un n’écoute pas Mes paroles qu’il dira en Mon Nom, c’est Moi Qui lui en demanderai compte. » (Deutéronome 18, 18-19 FLS.)
L’héritage ne fut pas transmis au travers d’Ismaël.
Il est clairement impossible que Mohammed puisse être le prophète dont Moïse a parlé, pour plusieurs raisons.
1) Mohammed n’était pas issu du milieu des frères d’Israël.
L’héritage d’Abraham alla à son fils, Isaac, et au travers d’Isaac, à Jacob (Israël). L’héritage ne fut pas transmis au travers d’Ismaël, qui est supposé être l’ancêtre de Mohammed. Abraham demanda à Dieu quelle était Sa décision à propos d’Ismaël, et Dieu lui dit :
« Et, à l’égard d’Ismaël, Je t’ai exaucé : voici, Je l’ai béni, et Je le ferai fructifier et multiplier extrêmement ; il engendrera douze chefs, et Je le ferai devenir une grande nation. Mais Mon alliance, Je l’établirai avec Isaac, que Sara t’enfantera en cette saison, l’année qui vient. » (Genèse 17, 20-21 FDB.)
Voici un autre point important à soulever lorsque l’on compare Ismaël et Isaac. La naissance d’Ismaël était le résultat des efforts d’Abraham et de Sarah pour avoir le fils que Dieu leur avait promis. Sarah était trop âgée pour avoir des enfants et raisonna en termes de ce qui était possible pour les hommes. Par conséquent, ils essayèrent d’aider Dieu à tenir la promesse qu’Il leur avait faite, en donnant Agar, la servante de Sarah, à Abraham pour qu’ils puissent avoir un fils par elle. Mais Dieu n’a pas besoin de l’aide de l’homme. En effet, l’aide de l’homme est inutile parce que Dieu œuvre dans le domaine de l’impossible – impossible pour les hommes, bien entendu, mais pas pour Lui.
En temps voulu, Dieu leur donna le fils promis, par Sarah, bien qu’elle eût plus que passé l’âge de porter des enfants ; c’était une naissance miraculeuse, à la gloire de Dieu. Le fait que ce soit la semence de Sarah est aussi important que le fait que ce soit la semence d’Abraham. La promesse n’avait pas été faite seulement à Abraham, mais aussi à Sarah. Alors que la naissance d’Isaac était miraculeuse, celle d’Ismaël était normale, tout comme celle de presque tout homme. Seul Isaac, dès lors, était le « fils de la promesse » faite à Abraham et Sarah.
Mohammed enseigna, de sa propre autorité, des choses qui sont contraires à la Loi de Moïse.
Il est écrit :
« Tous les descendants d’Abraham ne sont pas les enfants de Dieu. Dieu a dit à Abraham: “C’est au travers d’Isaac que tu auras les descendants que Je t’ai promis.” » (Romains 9, 7 ; traduit de la GNB.)
Ceci fut confirmé par Pierre, l’apôtre de Dieu, lorsqu’il parla aux Juifs à Jérusalem, après avoir reçu l’Esprit de Dieu :
« Vous êtes les fils des prophètes et de l’alliance que Dieu a faite avec nos pères, en disant à Abraham : “Et en ta semence seront bénies toutes les familles de la terre”. Ayant suscité Son Fils, Jésus, Dieu L’a envoyé à vous en premier, pour vous bénir, en détournant chacun de vous de ses iniquités. » (Actes 3, 25-26 ; traduit de la MKJV.)
Mohammed n’était pas issu de la lignée appropriée, ni par le sang ni par la foi, et ce parce qu’il ne croyait pas dans le Dieu d’Abraham et de Moïse, Jésus-Christ, et tenta d’abroger Son alliance avec les Juifs. Mohammed enseigna des choses contraires à la Loi de Moïse, de sa propre autorité. Par exemple, il a annulé le jour du Sabbat, un des Dix Commandements ; c’est là une chose impossible à faire parce que le septième jour a été sanctifié par Dieu Lui-même et Il l’a donné aux hommes comme une bénédiction.
Mohammed affirma aussi que son ancêtre supposé, Ismaël, était un prophète, ce qui n’est pas vrai.
[19. 54] Et mentionne Ismaël, dans le Livre. Il était fidèle à ses promesses; et c’était un Messager et un prophète.Mohammed affirma qu’il était le prophète de Dieu. Cependant, voici ce que Dieu a à dire à propos de son changement de la Loi de Dieu et de ses ajouts à Sa parole :
« Mais le prophète qui aura l’audace de dire en Mon Nom une parole que Je ne lui aurai point commandé de dire, ou qui parlera au nom d’autres dieux, ce prophète-là sera puni de mort. » (Deutéronome 18, 20 FLS.)
Mohammed n’a produit aucuns signes et merveilles qui prouvèrent que Dieu était avec lui.
Mohammed n’est-il pas mort prématurément d’une maladie ? Mais Moïse est mort dans ses vieux jours sans que sa vue et sa force ne se soient détériorées, et sans souffrances. Mohammed était un faux prophète qui essaya de changer la Loi de Dieu et mourut comme un pécheur, alors que le prophète comme Moïse magnifiera la Loi et ne mourra pas d’une maladie ou d’une mort ignoble.
2) Mohammed ne fit aucuns signes ou miracles, alors que Moïse en fit de nombreux. Ce critère pour le prophète à venir est souligné dans la dernière déclaration dans les cinq livres de Moïse :
« Il n’a plus paru en Israël de prophète semblable à Moïse, que l’Éternel connaissait face à face. Nul ne peut lui être comparé pour tous les signes et les miracles que Dieu l’envoya faire au pays d’Égypte contre Pharaon, contre ses serviteurs et contre tout son pays, et pour tous les prodiges de terreur que Moïse accomplit à main forte sous les yeux de tout Israël. » (Deutéronome 34, 10-12 FLS.)
Mohammed n’a produit aucuns signes et merveilles qui prouvèrent que Dieu était avec lui, contrairement à Moïse dont les mots étaient supportés par Dieu par le biais d’événements miraculeux. Par ces signes, Dieu démontra qu’Il avait envoyé Moïse et Aaron pour parler au Pharaon et pour guider les enfants d’Israël.
Par exemple, lorsque Koré et d’autres rebelles se rassemblèrent contre Moïse et Aaron, et ne voulurent pas se repentir de leurs méchantes plaintes et rébellion, Moïse dit :
« Si ces gens meurent comme tous les hommes meurent, s’ils subissent le sort commun à tous les hommes, ce n’est pas l’Éternel Qui m’a envoyé ; mais si l’Éternel fait une chose inouïe, si la terre ouvre sa bouche pour les engloutir avec tout ce qui leur appartient, et qu’ils descendent vivants dans le séjour des morts, vous saurez alors que ces gens ont méprisé l’Éternel. » (Nombres 16, 29-30 FLS.)
Mohammed terrorisait les gens.
Ceci s’est passé selon les mots de la prophétie de Moïse à propos du prophète à venir :
« Et si quelqu’un n’écoute pas Mes paroles qu’il dira en Mon Nom, c’est Moi Qui lui en demanderai compte. » (Deutéronome 18, 19 FLS.)
Si quiconque n’écoutait pas les paroles de Mohammed, lui, et non Dieu, en demandait compte à cette personne-là par la force de sa bande de voyous et de voleurs si nécessaire. Mohammed, et non Dieu, terrorisait les gens, tout comme d’autres tyrans et meurtriers l’ont fait au travers de l’histoire, bien qu’aucun n’eut l’impudence d’affirmer être le dernier prophète de Dieu.
3) Mohammed est supposé avoir entendu l’ange Gabriel, et comme il l’admet lui-même, n’a pas affirmé avoir parlé face à face avec Dieu comme Moïse l’avait fait (« que le Seigneur connut face à face »). Non seulement Mohammed ne connut pas Dieu face à face, mais encore, l’ange qu’il croyait avoir entendu était en fait un démon. Vous pouvez avoir la certitude que ceci est vrai parce que les anges de Dieu n’attaquent pas les gens de la façon dont Mohammed décrit avoir été attaqué par l’entité qu’il a rencontrée. Ceci vaut, bien entendu, si nous assumons que Mohammed avait fait l’expérience de quoi que ce soit, comme il l’affirma. Pour autant que nous le sachions, il se peut qu’il ait inventé cette histoire à dormir debout. Il n’y a pas de second témoin, comme Dieu le requiert selon Sa Loi et Ses principes pour notre sécurité, pour valider l’histoire de Mohammed disant qu’il avait été visité. On nous demande de croire Mohammed sur parole au-dessus de Dieu. Et nous savons tous, au travers du rapport du Coran, combien sa parole valait lorsqu’il était à son avantage de ne pas la respecter. Il y a aussi ceux qui savent combien la Parole de Dieu est bonne, et nous sommes de ceux-là.
Les messagers de Dieu ne tourmentent pas ceux auxquels ils sont envoyés.
Si nous assumons que Mohammed a en effet fait l’expérience de quelque chose, la violence de sa rencontre avec « Gabriel » lui fit penser que c’était une indication ou une confirmation qu’il était possédé par un démon. Les vrais prophètes, cependant, ne sortent jamais d’une rencontre avec un ange de Dieu en pensant qu’ils sont possédés. Vous ne trouverez pas la moindre trace de cela dans les Écritures parce que les messagers de Dieu ne tourmentent pas ceux auxquels ils sont envoyés, et les anges de Dieu ne sont pas envoyés pour communier avec des démoniaques.
Personne ne doit convaincre un prophète de Dieu qu’il a rencontré un ange, comme le cousin de la femme de Mohammed dut convaincre et rassurer Mohammed. C’est une clarté qui règne, et non de la confusion et une dépendance à des raisonnements ou à l’imagination d’êtres humains. Ceci est une autre indication certaine que ce qui est arrivé à Mohammed ne venait pas de Dieu.
4) Plus sûrs encore sont les fruits de l’office « prophétique » de Mohammed. Sa campagne de subjugation, comme le rapporte son témoignage coranique « inspiré », n’est rien moins que de la tyrannie au travers de meurtres et de vols qui enfreignent la Loi. La question n’est pas seulement que Mohammed n’était pas le prophète dont Moïse avait parlé, mais encore que, par ses actions, il fut démontré qu’il n’avait absolument rien à voir avec Dieu et était un agent de Satan. Il était un fils de destruction plein de vices. Mohammed prit de nombreuses femmes et s’enrichit par ses pillages, selon le rapport de ses propres disciples. Moïse n’a pas pris de femmes et ne s’est pas livré à des pillages. Quelle grande différence !
Il y a de solides raisons pour lesquelles Mohammed ne pouvait pas être ce prophète.
Comme certains musulmans le font remarquer, les Juifs s’attendaient à ce que le prophète dont Moïse parlait soit quelqu’un de différent que le Christ :
« Voici le témoignage de Jean, lorsque les Juifs envoyèrent de Jérusalem des prêtres et des Lévites, pour lui demander : Toi, qui es-tu ? Il déclara, et ne le nia point, il déclara qu’il n’était pas le Christ. Et ils lui demandèrent : Quoi donc ? Es-tu Élie ? Et il dit : Je ne le suis point. Es-tu ce prophète ? Et il répondit : Non. » (Jean 1, 19-21 FLS.)
Cela ne veut pas dire, bien entendu, que parce que Jésus n’était pas ce prophète, que Mohammed devait l’être. En plus d’être irrationnel, il y a de solides raisons pour lesquelles Mohammed ne pouvait pas être ce prophète en plus de ce dont j’ai déjà fait mention.
5) Mohammed n’est pas venu en prononçant le seul Nom qui ait été donné aux hommes par Lequel ils doivent être sauvés, qui est Jésus-Christ et non Allah. Jésus-Christ a prouvé qu’Il était Dieu en vainquant la mort, et Mohammed nie que cela ne se soit jamais passé. Il est écrit dans le Coran que Jésus n’est pas mort et n’a pas été ressuscité. Mais lorsque Pierre tenta d’épargner à Jésus la mort sur la croix, par laquelle Jésus allait vaincre la mort pour tous les hommes, le Seigneur lui dit ceci :
« Va derrière Moi, Satan ! Tu es une offense pour Moi ; car tu ne penses pas aux choses de Dieu, mais aux choses des hommes. » (Matthieu 16, 23 ; traduit de la LIVT.)
Mohammed, en déclarant que le Christ n’a pas été crucifié et relevé d’entre les morts, a proclamé le message de Satan, qui refuse à l’humanité le pardon des péchés par le sang du Christ et l’union avec Dieu au travers de Son pouvoir de résurrection. Amen.
Mohammed a dégradé le Christ au statut de prophète inférieur à lui-même.
6) Lorsque le prophète comme Moïse vient, ce sera au retour du Christ pour restaurer toutes choses, comme cela fut prophétisé par Pierre le jour où les disciples reçurent l’Esprit du Christ (Pentecôte) :
« Repentez-vous donc et convertissez-vous, pour que vos péchés soient effacés, afin que des temps de rafraîchissement viennent de la part du Seigneur, et qu’Il envoie Celui Qui vous a été destiné, Jésus Christ, Que le Ciel doit recevoir jusqu’aux temps du rétablissement de toutes choses, Dont Dieu a parlé anciennement par la bouche de Ses saints prophètes depuis le début du monde. Moïse a dit aux pères : Le Seigneur votre Dieu vous suscitera d’entre vos frères un prophète comme moi ; vous l’écouterez dans tout ce qu’il vous dira. Et quiconque n’écoutera pas ce prophète sera exterminé du milieu du peuple. » (Actes 3, 19-23 FLS.)
Selon ces paroles, le prophète comme Moïse vient lorsque le Christ revient pour régner sur la terre, et complète le rétablissement de toutes choses. Cela ne s’est visiblement pas passé du temps de Mohammed. Comme nous l’avons fait remarquer, Mohammed ne prêchait pas le Christ, et la paix ou la réconciliation – le Royaume des Cieux sur terre – ne s’en sont pas suivies non plus. Mohammed apporta les conflits et la confusion parce qu’il a dégradé le Christ, si une telle chose était possible, du statut de Seigneur de tous à celui de prophète inférieur à lui-même. En d’autres mots, Mohammed s’est fait plus grand que Dieu ; il était antéChrist.
Mohammed n’a pas non plus réconcilié les enfants d’Israël avec leur Dieu, comme Moïse l’avait fait, mais les a persécutés et tués lorsqu’ils le rejetaient lui. A plus d’une occasion, lorsque Dieu avait dit qu’Il allait détruire Israël à cause de leur idolâtrie et de leur incroyance, Moïse chercha la clémence et pria pour eux. Cela est bien différent de Mohammed, l’égocentrique, qui persécuta ceux qui étaient plus justes que lui, et massacra ceux qui n’étaient pas d’accord avec lui !
L’islam a été élevé pour le jugement des mauvaises actions.
C’est là l’héritage que Mohammed a laissé à ses disciples, qui jusqu’à ce jour haïssent et cherchent à détruire la nation d’Israël nouvellement élevée, elle qui offre plus de droits et de privilèges aux citoyens musulmans que leurs propres nations musulmanes. Comment quiconque peut-il sérieusement considérer que Mohammed serait le prophète comme Moïse ? Est-il possible d’être plus dissemblable à Moïse ?
Mohammed n’a pas amené les hommes à transformer leurs épées en charrues, mais le contraire, en accord avec la Parole du Seigneur par Joël :
« De vos socs forgez des épées, et de vos serpes, des javelines. Que le faible dise : Je suis fort ! Accourez et venez, vous, toutes les nations, de toute part, et rassemblez-vous ! Là, Éternel, fais descendre Tes hommes forts ! Que les nations se réveillent et montent à la vallée de Josaphat, car là Je m’assiérai pour juger toutes les nations, de toute part. Mettez la faucille, car la moisson est mûre ; venez, descendez, car le pressoir est plein, les cuves regorgent ; car leur iniquité est grande. » (Joël 3, 10-13 FDB.) (Note du traducteur : dans certaines versions françaises de la Bible, telle que la Bible du Semeur, ces versets sont Joël 4, 10-13.)
Est-ce que l’islam n’a pas fait du remue-ménage au sein des nations, cherchant à conquérir par la guerre depuis ses débuts ? L’islam a été élevé pour le jugement des mauvaises actions, un instrument d’iniquité qui périra de la terre lorsque Dieu aura fini Son œuvre juste. Ceci selon Sa Parole, que Mohammed et des milliards de musulmans ne peuvent pas changer :
« L’Égypte sera dévastée, Édom sera réduit en désert, A cause des violences contre les enfants de Juda, Dont ils ont répandu le sang innocent dans leur pays. Mais Juda sera toujours habité, Et Jérusalem, de génération en génération. » (Joël 3, 19-20 FLS.) (Note du traducteur : dans certaines versions françaises de la Bible, telle que la Bible du Semeur, ces versets sont Joël 4, 19-20.)
Pour que les choses soient parfaitement claires : Nous ne disons pas que Jésus était « ce prophète » ; Il ne l’était pas. Il y avait trois personnes mentionnées par Jean : le Christ, Elie, et ce prophète (comme Moïse). Ils sont tous différents. Si Jésus était le Christ, alors, clairement, Il n’était pas le prophète ; Il n’était pas non plus Elie, dont Il a dit qu’il était venu par Jean le Baptiste. Elie ne serait pas non plus le prophète. Nous avons prouvé que Mohammed n’était pas ce prophète. Par conséquent, il reste que la véritable identité de ce prophète a été cachée jusqu’à son apparition au jour du Seigneur et de Sa venue pour réconcilier toutes choses. Ce jour est maintenant arrivé.
Paul Cohen
Jésus était Bien Plus qu’un prophète, ce que les musulmans nient.
Une note de Victor :
N’est-il pas remarquable que, d’un côté, lorsque la Bible est prêchée ou citée à des musulmans, ils La déclarent non fiable parce qu’Elle est soi-disant trafiquée et corrompue, alors que, d’un autre côté, ils citent la Bible comme étant une source crédible et faisant autorité là où cela leur plaît ? C’est une hypocrisie classique et une indifférence méprisable à la Vérité, choses dont ils sont invariablement coupables.
Préférant croire la parole du Coran à de celle de la Bible, les musulmans disent que Jésus était un simple prophète, mais si c’était le cas, leur argument selon lequel Mohammed est ce prophète dont Moïse a parlé s’affaiblit, parce qu’alors, Jésus serait le candidat crédible. Ses références l’emportent complètement sur celles de Mohammed en comparaison avec Moïse. Un, tant Jésus que Moïse étaient issus de leurs frères, les Israélites ; deux, tous les deux firent des miracles ; trois, tous les deux étaient envoyés par Dieu ; quatre, ce qu’ils disaient était requis de ceux auxquels ils étaient envoyés ; cinq, tous deux honoraient l’autre ; et six, tous les deux étaient en complet accord en tous points.
Mohammed n’a rempli aucune de ces qualifications, pas le moins du monde, comme Paul l’a démontré de façon compétente par les faits et la vérité.
Les musulmans disent que Jésus n’aurait pas pu être ce prophète dont Moïse a prophétisé parce que les Écritures (dont ils disent qu’elles ne sont pas fiables) montrent que le Christ et ce prophète sont deux personnes différentes. Ils utilisent du bon sens et un langage simple pour réfuter ceux qui croient que Jésus était ce prophète. Mais si Jésus n’était pas ce prophète parce qu’Il était le Christ, alors clairement Il était non seulement un prophète, mais encore Bien Plus, ce que les musulmans nient.
Dans leurs ténèbres et leur illusion, les musulmans argumentent non pas pour amener et établir la vérité, mais pour maintenir et défendre les positions impies et intenables de leur religion, qui est remplie de contradictions avec la Bible et Son Auteur.
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